LES LIVRES D’ARCHITECTURE

Notice détaillée

Auteur(s) Colonna, Francesco
Martin, Jean (traducteur)
Titre Hypnerotomachie, ou Discours du songe de Poliphile...
Adresse Paris, J. Kerver, 1561
Localisation Paris, Ensba, 1322 bis
Mots matière Architecture, Jardins
Transcription du texte

English

     Le retirage de 1561 est très proche de l’édition de 1554. La page de titre mentionne la nouvelle adresse de Kerver, qui est passé de l’enseigne des « Deux colonnes » à celle de « La Licorne ». Le texte de Jean Martin a été recomposé sans modifications. De nouvelles lettrines apparaissent uniquement dans les pièces préliminaires, et l’éditeur a introduit en tête de chaque chapitre un bandeau. Les textes grecs, imprimés avec des caractères plus grands, sont plus lisibles. Les gravures sont les mêmes : celle qui figure au bas du folio 22 a été inversée.

Yves Pauwels (Cesr, Tours) – 2012

Bibliographie critique

F. Colonna, Le songe de Poliphile, traduction de Jean Martin (1546), présentée, translittérée et annotée par G. Polizzi, Paris, Éditions de l’Imprimerie nationale, 1994.

M. Furno, Une « fantaisie » sur l’Antique : le goût pour l’épigraphie funéraire dans l’Hypnerotomachia Poliphili de Francesco Colonna, Genève, Droz, 2003.

M. Lorgnet, Jean Martin translateur d’emprise, Bologne, Editrice CLUB, 1994.


 

 

Notice

Hypnerotomachie [par F. Colonna] : ou Discours du songe de Poliphile, deduisant comme Amour le combat à l’occasion de Polia... nouvellement traduict de langage italien en francois. Paris : J. Kerver, 1561.
In-fol., pièces liminaires, 157 ff.
Adresse de Jacques Gohory au lecteur parisien, au revers du titre-frontispice.
Autres auteurs : Martin, Jean (traducteur) ; Gohory, Jacques (préfacier).
Paris, École nationale supérieure des Beaux-Arts, 1322 bis.
*Notes sur l’exemplaire :
- Reliure de basane (XIXe siècle), 33 x 22,6 cm. Un feuillet manuscrit est en tête, de la main de Philippe de Chennevières vraisemblablement, fournissant des indications sur les illustrations qui lui ont été transmises par [Horace] de Vielcastel qui les a trouvées sur un autre exemplaire ; d’une autre – et meilleure – main que celles de l’édition italienne de 1567.
- Probablement de la bibliothèque de Philippe de Chennevières, achetée par l’État pour l’École des Beaux-Arts en 1861.
- Cachet de l’École impériale des Beaux-Arts.